SOMMAIRE |
Si vous détestez les herbes poisseuses éloignez-vous d'Ibicella méfiez vous aussi de ses griffes. Un point important pour éviter l'égratignure elle ne les sort qu'en période amoureuse. |
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Taxonomie |
Noms usuels
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Histoire et étymologie |
En 1875 W. J. Beal avait émis l'hypothèse que cette étrange plante pouvait
entretenir des moeurs
carnivores.
En 1916 Mameli étudie Ibicella et démontre la capture et la digestion des proies.
Le nom dérive du latin Ibex signifiant « bouquetin » et Cella signifiant « partie » allusion
au fruit de la plante rappelant par sa forme un ongle de sabot.
Distribution |
L'origine de pousse d'Ibicella est le continent américain et elle
croît au Brésil. Elle s'est naturalisée en Australie.
Biotope |
Le manque d'information ne permet pas une description complète du biotope
d'Ibicella. La plante est
mésophyte
affectionnant les sols pauvres secs et
acides
.
Elle profite surtout de l'hygrométrie de l'air comme le fait le
Drosophyllum.
Culture |
Conclusion |
Ibicella lutea est encore rarement cultivée dans les collections de plantes
carnivores.
La culture facile ses jolies fleurs jaunes et sa biologie devraient susciter dans les
années à venir la convoitise de nombreux passionnés du règne végétal.
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